En 1954, il commence son cheminement dans la pratique de l’Art Martial.

Un professeur du collège auquel il appartient, l’invite à entrer dans son club de Judo; c’est ensuite I’armée, dans un groupe de parachutistes commandos; le close-combat est la pratique quotidienne. Ensuite, pendant quelques années, il se consacre au travail professionnel tout en continuant à s’entraîner en Yoseikan Budo (Me Mochizuki). Un de ses amis kinésithérapeute lui propose de s’entraîner avec lui en «SHITORYU» .

C’est là qu’il va croiser Maître Yoshinao NANBU qui lance le «Sankukai» et plus tard le «Nanbudo».

Parallèlement à la pratique , il installe 2 féderations, une en France et une en Suisse où il va s’etablir. Pendant de nombreuses années , il continue cette pratique, se rend au Japon avec Maître NANBU, où il peut apprécier I’éthique martiale. Plus tard, il va se rendre au Canada où il espére trouver une pratique sans compétition, mais en vain.
Alors, à son retour, déçu par I’évolution sportive de l’art martial, il prend son indépendance et créé le SHOZINDO, qui suit une direction sans compétition, sans pour cela enlever l’efficacité de l’Art martial.

Plusieurs Dojos se montent en Romandie et Suisse alémanique, composés d’élèves, puis d’enseignants intéressés par la proposition.

En 2014, il confie «les clefs» aux responsables, Denis Maillard en Romandie et Roland et Manon Mötteli en Suisse alémanique.

Le stage d’été annuel réunit les élèves désireux de se perfectionner et se rencontrer dans un cadre de nature, en dehors des Dojos, dans l’esprit du SHOZINDO «Voie qui mène vers la Conscience».

« Il ne faut pas croire, avant d’en avoir fait l’expérience. Il faut combattre l’ignorance et mettre à l’épreuve les conseils, ce qui permet d’accéder à la certitude»   Jacques LESNE SOKE

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